{FAN FICTION} Les chroniques de Zardor

Ceci est une repompe de ce que j'ai posté sur le site des champions... (leschampions.forumactif.fr ; si vous voulez connaître toujours plus de français sur Asura - il y a environ le meme nombre d'inscrits qu'ici, mais ils sont beaucoup moins actifs)











I

Je suis Zardor Ben Burtos. J’ai choisi de partir à l’aventure à la suite de mon frère Julard. Julard s’était fait voleur à Bastok ; notre mère s’inquiétait ; j’ai été envoyé à sa recherche. J’ai entamé des études de magie intermédiaire, la trop dénigrée « magie rouge » tout en m’occupant à veiller sur mon grand frère. Cependant, le malaise s’est vite fait entre Julard et moi : nous étions si proches auparavant, et il me considérait maintenant comme une gène.
J’ai décidé de devenir plus cool : je me suis improvisé aventurier.
Bastok est très vite devenue trop petite pour mes désirs naissants.

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II

Né d’une mère Selbinienne et d’un père que je ne connais pas – je ne sais même pas si Julard et moi sommes du même père – je poursuis à travers Vanadi’el une quête identitaire, à la recherche de mes origines. J’espère qu’enfin, un jour viendra, où nous pourrons ramener à notre mère son amour disparu. Nous prouverons alors aux mauvaises langues de Selbina que Sylvette Burtos n’est pas une catin.

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III

J’aime Bastok. J’aime le bruit de Bastok. C’est une ville de travailleurs, pleine de gens humbles. Le son des forges et des mines tinte encore dans mes oreilles, la nuit, lorsque je parcours les vastes étendues de Gustaberg ou lorsque j’admire les aurores boréales de Qufim, et que passe, comme un frisson de mort, un banshee sur mes épaules…
Cependant, il arrive parfois que je désire m’installer à Windurst ; c’est que la quiétude de ce lieu m’enchante. Peut-être, sur mes vieux jours…

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IV

Oh, je n'ai pas eu la vie facile, croyez-moi. On ne s'improvise pas aventurier.
Je me souviens de mon adolescence. Il fallait trouver argent et nourriture pour notre mère alcoolique.
Mon frère passait son temps à des jeux violents dans les dunes, derrière la ville. Je me souviens d'un garçon que nous respections tous : Youf. C'était le chef de la bande à Julard ; le meilleur quand il s'agissait de casser les pinces aux snippers de Whitebone sands. Nous étions tous là, tous les jeunes de Selbina, à l'observer la nuit où il avait cru possible d'aller toucher le ventre d'un Bogy. Je le vois encore, rampant dans le sable, se retourner vers nous pour faire un signe du pouce. Ce signe restera toujours gravé dans ma mémoire, à l'approche de la mort, alors je voudrais avoir encore la force de lever le pouce et de serrer le poing ; une larme me coulera sur la joue ; je murmurerai dans un souffle : "c'est champion", la phrase que nous prononcions avec un respect empreint de tristesse, pensant à Youf, notre empereur superbe, avec sa tignasse noire.

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V

Passons au chapitre des demoiselles, voulez-vous?
Quand on a eu une mère comme celle de Julard et moi, on est au courant de pas mal de choses, très tôt. On s'est vite construit une armure.
Une phrase terrible de ma mère sonne parfois encore à mes oreilles : "Tu t'es pas gêné pour me lécher la chatte quand t'es sorti, petit merdeux".
On lui en voulait pas, à notre mère ; c'était de la faute des hommes...
On s'est battus, pour elle. Quoiqu'en dise Julard, on l'aimait bien, elle nous faisait pitié.
J'ai eu un mal terrible à m'approcher des filles dans ma jeunesse. Je me sentais affreusement obsédé, je me trouvais obscène et grotesque avec mes envies déplacées.
Curieusement, avec les jeunes mithras, je n'avais pas ce complexe... Elles étaient joueuses, un peu masculines ; mais surtout très douces et libérées de complexes sexuels. Partager les caresses, c'était tout naturel avec elles... Je remercie chaleureusement mes compagnes de jeu selbiniennes, jolies et vives mithras !

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A suivre...

voici un genre nouvo sur le forum un peu de nouvoté ne fait pas de mal lol